Il s’agit d’une étude exclusive menée par DatingRanking.net, qui a interrogé les répondants pendant trois semaines pour refléter une représentation précise de la population américaine.
Dormir avec un ex peut être un territoire dangereux. Certains y voient une tentation insensée, tandis que d’autres y voient une dernière chance de faire fonctionner les choses.
Quoi qu’il en soit, nous voulions savoir à quelle fréquence cela se produit et qui est le plus susceptible de le faire.
La dernière étude de DatingRanking.net a posé à un échantillon représentatif d’Américains une question très simple : avez-vous déjà couché avec un ex ?
Soixante-six pour cent des Américains ont dit qu’ils ne l’ont pas fait.
Les femmes ont dépassé les hommes, sept sur dix ayant déclaré n’avoir jamais eu de relations sexuelles avec un ancien amant, contre six hommes sur dix.
À 84 et 82 pour cent, les Américains plus âgés et les Américains d’origine asiatique faisaient partie des groupes les plus susceptibles de ne pas retourner avec un ancien partenaire romantique, respectivement. En ce qui concerne leurs homologues, seulement 57% des personnes âgées de 25 à 34 ans et seulement 60% des Hispaniques n’ont pas couché avec un ex.
« Sept femmes sur dix n’ont pas
eu des relations sexuelles avec un ancien amant. »
Suivent de près les personnes à revenu élevé et celles vivant dans le Midwest.
Les hommes et les femmes gagnant 125 000 $ ou plus par an étaient 22% plus susceptibles d’éviter les relations sexuelles avec un ex que ceux gagnant entre 75 000 $ et 99 999 $ par an, tandis que les Midwest étaient 23% plus susceptibles d’éviter les relations sexuelles avec un ex que les Sudistes.
Les répondants homosexuels et les divorcés étaient parmi les groupes démographiques les moins susceptibles de rester à l’écart d’un ex.
Un peu plus de la moitié des hommes homosexuels et des femmes lesbiennes ont répondu par l’affirmative, tandis que 56 % des personnes divorcées l’ont fait.
Il y a eu beaucoup de surprises dans les résultats, ce qui est peut-être la nature du sujet. Après tout, se remettre au lit avec un ex peut être une énorme surprise en soi et certainement pour les personnes impliquées.
L’étude a interrogé 1 080 répondants au cours de trois semaines, en équilibrant les réponses par âge, sexe, revenu, race, sexualité et autres facteurs afin de représenter avec précision la population américaine. L’étude a une marge d’erreur de +/- 2,8 %.
La panne : les Américains qui n’ont pas couché avec un ex
Par sexe :
Par sexualité :
Par état civil :
Par âge:
Par race :
Par revenu :
Par région: